Les daïfukus mochis sont des pâtisseries japonaises fondantes. Dans la recette proposée, la pâte de riz extérieure enferme une pâte de haricots rouges sucrée qui fond sur la langue. Mais on peut aussi les fourrer de glace, de fruits ou d’une farce au matcha.
Matériel culinaire (pour 10 pièces)
Pour la pâte de haricots rouge (anko)
100 g de haricots rouges bio
2 x 1,5 l d’eau
120 g de sucre glace
Pour la pâte de riz
80 g de farine riz gluant
40 g de farine de riz
60 g de sucre
2,3 dl d’eau
6 cs de fécule de pommes de terre
Bricolage
Faire cuire les haricots rouges dans 1,5 litre d’eau froide. Une fois que l’eau a atteint le stade de l’ébullition, laisser cuire 30 minutes.
Vider l’eau, rincer les haricots à l’eau tiède et recommencer exactement la même opération.
Écraser les haricots à la fourchette ou à l’écrase purée dans la casserole. Ajouter le sucre glace et chauffer gentiment sur tout petit feu pendant quelques minutes pour glacer le mélange.
Pour la pâte de riz, mélanger dans une casserole les deux types de farine, le sucre et les 2,3 dl d’eau.
Chauffer les ingrédients à feu doux, sans cesser de remuer.
La pâte doit former une masse homogène élastique.
Étaler sur la table la fécule de pommes de terre et y déposer la masse de pâte.
La séparer en 10 parts égales. Rouler une boule de pâte de haricots rouges d’environ 1,5 – 2 centimètres de diamètre. Aplatir la pâte de riz en petits disques et recouvrir la boule de haricots rouges. Pincer la pâte pour la « souder ».
Puis s’assurer que les daifukus mochis aient une forme bien ronde sur les côtés, en les faisant tourner sur la table couverte de fécule, entre les paumes.
Déguster avec un thé chaud.
Dans le frigo, couverts d’un papier film, ils se conservent 3-4 jours.
