Les algues font partie intégrante de la cuisine japonaise. Ces derniers en consomment 14 grammes par jour. On les achète généralement sous forme séchée, ce qui permet une conservation optimale, surtout que ces végétaux des fonds marins ne perdent rien de leurs propriétés au moment de la réhydratation. Et des propriétés il y en a une longue liste à citer! Elles ont chacune leurs particularités, mais ont en commun un apport calorique très faible, elles contiennent toutes des sels minéraux, des oligoéléments, du calcium, des protéines et sont très riches en fibres.
FURIKAKE
Le furikake, c’est un mélange de condiments en poudre que l’on peu acheter dans toutes les épiceries en petits sachets et que l’on saupoudre d’habitude sur le riz. Un peu comme on le ferait avec du parmesan sur les pâtes!
HIYAJIRU
L’hiyajiru une variation estivale de la soupe miso, facile à réaliser, dont le goût raffiné surprendra plus d’une papille. On la sert glacée et l’apport du shiso est indispensable pour amener du pep à la préparation. Si vous souhaitez y apporter quelques variations, elle peut se servir sur un bol de riz, pour offrir un repas complet ou avec du poisson grillé émietté « on the top ».
RAVIOLIS A LA COURGE ET AUX MARRONS – BEURRE DE SAUGE
Alors ça les amis, c’est une tuerie. Ni plus, ni moins. Bon ok, il faut un peu de patience pour confectionner des raviolis pour une grande tablée d’invités, mais si on revoit ça en format « dîner aux chandelles » pour deux personnes, c’est presque vite fait (j’ai dit presque!).
ROULEAUX D’ÉTÉ A LA DANOISE
Les rouleaux d’été nous viennent du Vietnam (Goi Cuốn, Bo Cuốn ou Bi Cuốn en vietnamien selon la farce). Ils sont frais, légers, se croquent en snack entre les repas ou en entrée, et on peut en décliner des variations sans fin. La base, c’est toujours une feuille de riz toute fine. J’aime bien y glisser des morceaux de mangue ou de poisson, m’éclater avec les herbes aromatiques (coriandre, basilic thaï, menthe, etc.), indispensables pour donner du pep à la préparation.
LEVERPOSTEJ
Le leverpostej, c’est un souvenir d’enfance, de vacances en terres scandinaves. Au petit déjeuner, sur une tranche de Rugbrød (une sorte de pain de seigle carré et très foncé), encore tiède, c’était et ça reste juste un délice. Le leverpostej c’est aussi un incontournable du plat national danois qu’est le smørrebrød – littéralement le beurre sur du pain – qui ressemble à nos canapés en version un peu plus funky toutefois et qui peut être décliné à l’infini.
PHÒ GA
Le Phò avant toute chose, c’est mon plat préféré. Celui que je pourrais manger toutes les semaines, qui me fait voyager, me ravigote et me projette en une bouchée dans un pays que j’affectionne énormément : Le Vietnam. Sous ces contrées asiatiques, on peut le déguster à toute heure, à chaque coin de rue, assis sur de minuscules chaises en plastique. Certains disent que c’est une adaptation du « pot au feu » à la française, souvenir du temps des colonies, d’autres que c’est le nom vietnamien d’une soupe vendue par les immigrés Chinois au Vietnam. Simple dans sa présentation, c’est une explosion de saveurs en bouche.